Avant vingt ans je n'avais pas bu une goutte de vin. La seule odeur m'insupportait. Pourtant j'avais été enfant de choeur avec les burettes. Pourtant j'étais fan de Brassens, de Fallet…
le beaujolais nouveau avait beau arriver,
je buvais le livre, mais pas une goutte, jamais ivre. Je remplissais la topette du grand père sans
y toucher.
Un stage de chaudronnerie en 81 et tout est rentré dans l'ordre, ou dans le désordre. L'effet Mitterand sans doute, l'important c'était la rose et pour finir le rosé. Je suis rassuré quand je verrais là-haut le grand Georges et le père René, je ferais bonne figure.
On parlera du cul des filles en contemplant
celui des bouteilles.